Fatalisme : M.A.K My Life Ou Presque Xiv
Le samedi soir, je me suis couché seul dans ma chambre. Javais beaucoup bu et je ne voulais pas dormir sans elle dans notre chambre à coucher. Cette solitude métait insupportable. Jai sur les cachets pour oublier et dormir.
Le cocktail alcool, cachets ma abruti.
Au milieu de la nuit, dans un état semi-comateux, jai entendu du bruit dans notre chambre. Les rires de ma femme et la puissante voix grave de Kemb. Puis des gémissements. Ils faisaient lamour et Kemb la pilonnait comme elle aimait. Je limaginais en levrette recevant les coups de boutoir de son amant. Ses seins tressautant au rythme des coups de piston. Dans un semi-rêve, je la voyais reins cambrés, fesses ouvertes, sexe investi.
Je lentendais crier puis jouir dans un long feulement.
Je ne savais plus ou était la réalité ou lonirisme.
Groggy sous leffet des médications. Comme un rêve.
Tout ce mélangeait sauf lessentiel, son retour.
Je nai pas osé les déranger. Jétais content quils soient là.
Cest elle qui est venue. Assise contre mon flanc, sa bouche à mon oreille. Son parfum magnifique. Mélange de senteurs et de sueur. Elle parlait à voix basse.
- Excuse-moi mon ange. Je ne voulais pas te faire tant de mal. Je nai rien dit à ta mère. Mais elle se doute de quelque chose. Pour le reste sache que jamais je ne tobligerais jamais tu comprends Didou.
Elle a posé le plugg sur le chevet, et le tube de gel.
- Fais comme tu veux, je tattends avec Kemb. Viens avec ou sans, à toi de décider. Je te jure que tout se passera bien. Cest impossible sans toi.
Elle ma fait un bisou sur la bouche et ma laissé.
Ce quelle me demandait était encore plus dur.
Porter le plugg devant son amant !
Me présenter devant eux avec ce truc dans le cul !
Je savais quelle me donnait encore une chance. Mais que laddition avait grimpé. Bougrement élevée même. Je les entendais discuter sans comprendre ce qui se disait.
Jai pris lobjet par la base pour le graisser. Puis je lai mis entre mes fesses contre mon anus. Jai dû my reprendre à plusieurs fois avant de réussir à le rentrer. Cétait gros, lourd, épais, et froid. Son passage ma fait mal, mais après il a glissé tout seul pour sencastrer moi. Impression bizarre quand il rentre dun coup jusquà ce que la base ronde le bloque.
Cétait fait. Jétais équipé de cet engin. Jétais pluggé pour elle.
La punition ou le supplice pouvait commencer pour moi.
Je marchais lentement. Il bougeait en moi. Douleur et excitation. Le cur battant, légèrement penché à cause dune légère douleur au bas ventre, jai traversé le couloir vers la chambre à coucher. Les chambres des s étaient ouvertes. Je voyais le désordre habituel de la chambre de Julien et lordre méticuleux de celle de Mathilde.
Que penseraient-ils, sils voyaient leur papa dans cet état. Avec cet engin fiché entre les fesses. Et si jamais un jour ils nous surprenaient. Sils devinaient ce qui se passait pendant leur absence. Si ils comprenaient ce que leur mère faisait avec ces deux jeunes. Ces idées noires me mouillaient les yeux. .
Puis est venue le moment de lhumiliation quand jai ouvert la porte et quils mont regardé. Je me suis approché du lit avec difficulté. Je marchais lentement, le visage crispé, les yeux embués. Margot sest inquiétée.
- Tu as mal ?...
- Il faut quil prenne lhabitude, cest tout. Tu vois que cétait inutile quon se fâche pour lui. Il va vite supporter le plugg je te le dis moi. Il a le cul pour ton mec. Il va être mignon tout plein avec ce truc dans le cul. Tas bien bossé ma Gazelle. Je tavais bien dit quil le ferait pour toi.
- Tais-toi Kemb, inutile de te moquer. Viens avec nous Didou, près de moi mon Chéri. Viens vite. Jai envie dun gros câlin.
Elle était couchée en travers du lit, Kemb assis à sa gauche. Elle a ouvert ses jambes. Sa chatte coulait.
- Tu veux mon Chéri ? Viens vite me nettoyer..
Jai obéis. Javais envie de son odeur, de sa liqueur et les cachets annihilaient encore ma volonté. Je léchais avec application. Ma langue allait le plus loin possible dans son intimité pour ramener les sécrétions de son amant. Kemb lembrassait à pleine bouche.
- Tourne toi Chéri que je vois cela. Montre-nous ton joli derrière
Jai pris la position demandée sans cesser de la laper. Elle a saisi la base du plugg pour le bouger, le sortir ou lenfoncer. Les mouvements de lengin créé des dépressions dans mes intestins.
- Cest drôle. Il tient bien. Cest marrant ce truc.
- Ouais, il faudrait quil le garde un maximum de temps. Comme ça, il prendra vite lhabitude, lanus est un muscle qui sassouplit facilement vers lextérieur mais moins vers lintérieur. Cest le toubib qui parle.
Il a rigolé avant dajouter :
- Faut le lui mettre tous les jours ma gazelle.
- Ça viendra. On nest pas pressé Kemb. Cest juste un jeu entre nous. Il le mettra tous les jours. Mais on risque de le voir sous son pantalon non ?...
- Et alors ?... Il faut que ton mari assume son statut. Je tai déjà dit Margot. Il faut quil reconnaisse une fois pour toute son rôle et sa place.
Ils parlaient de moi sans tenir compte de ma présence. Elle appuyait sur ma tête pour que je la lèche à fond. Elle samusait à vouloir faire coulisser le plugg en moi. Cela me faisait mal mais cétait supportable. Ce traitement mhumilait et mexcitait. Je sentais les fourmillements dans mon bas ventre.
- Il est prêt à le faire Kemb, mais inutile dêtre brutal ou humiliant. Chéri, suce Kemb sil te plaît.
Elle avait un ton tout à fait anodin en disant cela.
La bitte était encore humide des sécrétions de la chatte de ma femme. Je suçais, branlais, léchais, le membre en train de durcir et grossir.
- Il suce vraiment bien ton mec ma gazelle. Une suceuse professionnelle. Vas-y le cocu, bouffe-moi bien la bitte. Cest ça les couilles aussi, plus bas. Allez reviens sur ma bitte.. Tes devenu un sacré pipeur mec.
Il était bien dur, droit érigé vers le plafond.
Il a dit un truc dans loreille de ma femme. Elle a fait non de la tête.
- Cest le moment ou jamais ma Gazelle, crois-moi
. Allez
On essaye cest tout
Je suis toubib Margot. Je sais quil ny a rien à craindre. Crois-moi. IL y a tout ce quil faut.
Il lui a chuchoté à loreille. Elle a fait non de la tête. Elle a plaqué ma tête contre sa vulve. Kemb parlait à son oreille. La voix hésitante de ma femme.
- Promets-moi que cela se passera bien Kemb ?
- Je te jure ma Gazelle. Tout se passera bien
Tiens !Cest toi qui décidera si on continue ou pas ok ?
Une longue minute de silence avant que Margot parle.
- Didou attend Chéri. Arrête. Viens te coucher à côté de moi. Oui, comme ça. A plat ventre. On va essayer autre chose. Fais-moi confiance mon cur.
Kemb était à genoux en train de se branler lentement. Il avait ce regard que javais appris à connaître. Un regard de prédateur sûr de sa puissance. Il me regardait. Jai regardé Margot avec inquiétude.
- Laisse-moi faire.
Elle a libéré doucement mes fesses. Le plugg a fait un plop en sortant de mon cul. Comme le bruit atténué dun bouchon de Champagne. Elle a mis deux coussins entre elle et moi.
- Couche-toi sur les coussins mon Ange. Ton bassin sur les coussins.
Sa voix était douce, tendre. Jai obéis. Jai vu Kemb prendre le tube de gel dans le chevet. Il en a mis dans la paume de sa main.
Javais les fesses relevées. Je voyais parfaitement Kemb enduire son sexe de gel en se branlant lentement.
- Ecarte les jambes Didou.
Elle ma dévisagé avec tendresse. Je devais avoir lair inquiet.
- Tout va bien se passer. Cest juste un jeu rien dautre
Je taime.
Kemb est venu à genoux entre mes jambes. Le lit sest creusé sous son poids. Puis il sest couché sur moi. Ses jambes musclées ont encore plus écarté les miennes. Je sentais ses poils durs contre mes mollets, son bas ventre contre mes fesses. Jattendais comme un animal à labattoir attend son sacrifice. Javais parfaitement compris ce quil voulait.
Et ce que ma femme venait daccepter.
- Vas doucement Kemb, ne lui fait pas mal..
Elle était en train doffrir le cul de son mari à son amant.
- Ne tinquiète pas ma belle. Je ne veux pas lui faire mal, je veux juste enculer un cocu devant sa femme. Jen rêve depuis longtemps. Et tu las bien préparé avec Donald. Profite ma gazelle, cest pas tous les jours que tu vas voir ça.
Il a positionné son engin entre mes fesses, le gland contre mon anus. Je nai eu aucun mouvement de révolte. Rien. Je le laissais faire devant elle. Pourtant je savais parfaitement ce qui allait se passer. Ce que son amant allait me faire. Je sentais ce gros tube dur et chaud entre mes fesses, contre mon anus. Je sentais le souffle de Kemb sur ma nuque.
- Cest un sacré cadeau que tu me fais là ma Gazelle.
Les mains de ma femme qui me caressaient les cheveux.
- Cest lui qui nous le fait Kemb
- Te fais pas de mouron, il va vite sy faire ton cocu.
Il ma claqué les fesses.
- Aller ! On y va la tafiole. Pousse comme pour faire caca mec. Tu auras moins mal. Respire un grand coup et pousse pour chier.
- Vas-y Didou
Écoute-le
Je taime mon ange.
Jai obéis en regardant ma femme. Ses yeux étaient mouillés. Plaisir ou peine, je ne saurais le dire. Elle ma embrassé sur la bouche. Sa langue a fouillé mon palais. Elle me bâillonnait avec amour.
Juste une douleur infernale qui ma fait sursauter. Le cul en feu. Du plomb fondu dans mon cul. Ma respiration sest bloquée. Margot me tenait la tête contre la sienne.
- Cest rien, ça va passer. Ça va passer. Embrasse-moi Didou. Fort. Respire un grand coup
Cest rien
Je connais
Je te jure que ça va passer mon amour.
- Ne lappelle pas comme çà
. Cest juste ton mari !.. Ton cocu.
Un autre coup de rein et une autre douleur violente, puis une autre. Jai les larmes aux yeux. Mes fesses sont en feu. Je serre les dents puis mord le drap humide de sueur. Margot me caresse les cheveux. Sa langue fouille ma bouche. Mon corps tressaute sous les coups de bittes de mon enculeurs.
Ma bouche se détache de celle de Margot. Je pousse un cri rauque. De douleur. Des larmes giclent. Je gémis longuement.
- Doucement Kemb, doucement, il a mal. Je ne veux pas le faire souffrir.
- Il va prendre lhabitude. Cest bon de toute façon, jy suis. Ton mari est mon enculé. Tu vois que cest possible. On va aller doucement ne te fais pas de mouron ma Gazelle.
Kemb a ajouté du gel entre mes fesses sur son membre fiché en moi.
- Il est bien perforé ton mec. Le garage est ouvert. Cest serré la dedans. IlL a le cul bien onctueux. Je peux continuer ma Gazelle ? A toi de décideré, jte lai promis. Si tu veux je le laisse tranquille. Mais cest encore pire pour lui..
Elle ma embrassé à nouveau. Puis ma regardé fixement. Dun regard excité.
- Merci Didou, je taime. Uoi continue mais doucement
Je me suis écroulé sur le lit. Visage contre le drap. Inerte et sans volonté en sentant ce pieu me mettre à sa botte. Il a raison. Je suis un enculé.
Je me suis laissé démonter le cul et le corps. Jétais à lui. Un enculé de mari complaisant et consentant. Plus un mec. Juste un mari cocu soumis. Son sexe dans mon cul cétait comme si on mavait mis en cage ou en esclavage. Juste un mauvais roman porno.
Mais ma femme était heureuse.
Je nai pas senti quand il a joui, jai rien senti. Trop mal.
Il ma enfin libéré. Ça sentait la sueur et la merde dans la chambre et cétait une humiliation de plus.
- Casse-toi maintenant et laisse couler pour bien comprendre ce que tu es.
- Ne lui parle pas comme ça Kemb.
- Ton mari est une fiotte ma Gazelle..
- Pour moi Kemb, pour moi. Et cest mon mari.. Et je laime
- Cà je sais ! Inutile de me le rappeler Margot.
- Bonne nuit Chéri. Vas te reposer dans ta chambre.
Je me suis nettoyé tant bien que mal mais mon cul coulait. De toute façon javais pas le courage de me laver. Peur de toucher mon anus irrité.
Au matin, très tôt, il est venu dans mon lit.
- Fais-moi une place ta femme dors encore et jai envie. En Position mon cocu !
- Non laisse-moi Kemb, jai encore mal..
- Tourne toi jte dis. Tu vas avoir moins mal mec. Plus je tencule moins tu auras mal, allez. Cest marrant denculer un mec. Mais je préfère casser le cul de ta meuf.
Jai tenté de me lever mais il ma retenu
- Ecoute mec, tas aucune chance dy échapper. Même ta femme le souhaite. Cétait ton cul ou je la larguais. Et tas aucune chance de me résister vu ton gabarit. Ne moblige pas à sévir et ne fais pas de peine à ta femme, cest un conseil mec. Tu vas voir quà force de te faire enculer tu nauras plus mal. Je suis pas pd mec. Mais certaines règles de combat impliquent de soumettre de cette façon. Lhistoire de mon pays est pleine de ce genre de chose. Je suis le maître et tu es ma chose. Cest comme ça. Et de toute façon cest quand même elle qui gagne à tous les coups.
Plus envie de discuter, ou de me révolter. Il avait raison. Cest ma femme qui avait exigé cette nouvelle humiliation en contrepartie de son retour à mes côtés. Cela ne servait à rien de refuser après la séance dhier. Alors je me suis mis à plat ventre en ouvrant mes jambes.
- Cest bien petit Didou, tu as compris. Offre-moi bien ton cul de cocu.
Il avait raison, jai eu moins mal au début, mais encore plus honte. Il a investi mon cul en prenant son temps et avec beaucoup de salive. Il sortait lentement sa queue à lexception de son gland puis lenfonçait dun coup puissant, me faisant sursauter et gémir de douleur.
Il allait de plus en plus fort et mon corps se cabrait sous ses coups de boutoirs. La douleur est revenue, plus intense. Elle se diffusait dans tout mon corps. Je gémissais le visage contre loreiller.. Javais lanus en feu malgré la salive et envie aussi de pisser. Ma bitte molle frottait contre le drap couvrant le matelas qui bougeait sous la puissance de Kemb.
- Je vais faire de toi une vraie femelle. Faudra mettre un tube de gel ici. Ah non zut les s risquent de le trouver.
Quelques coups de rein encore plus puissants qui envoient ma tête contre le mur. Cette fois, je le sens se vider en moi. Liquide chaud qui emplit mon cul dévasté.
- Tas un super cul pour un mec. Cest pas si mal.
Il est parti se préparer pour son footing. Avant de quitter la chambre il ma dit.
- Tu devrais prendre lhabitude de faire des lavements. Cest plus hygiénique. Surtout pour toi mec. Au fait noublie pas de remettre ton plugg.
oooOOOooo
Cest vite devenu une habitude ou un rituel denculer le mari cocu. Juste pour le fun comme il dit. Recevoir sa queue ou porter le plugg. Pour me rappeler ce que je suis réellement. Un chômeur cocu et soumis. Un type incapable de garder sa femme et qui en plus file son cul à lamant. Il me le disait en ces termes. Crûment. Sans fioriture.
Et quand Margot lui demandait dêtre moins grossier.
- Mais ce que je dis est vrai ma Gazelle. Ton mec ce nest pas un homme. Juste une lavette sous médoc et incapable de faire face à ses obligations. Un cocu pluggé comme dans les films pornos.
Pour lui cétait juste un moyen supplémentaire de me dominer ou de mhumilier aux yeux de ma femme. Margot ne lui répondait pas et venait souvent me câliner. Comme un gamin.
Un dimanche soir nous sommes seuls, au lit. Les s couchés. Margot sest tournée vers moi. Elle avait à la main une petite pochette en papier de couleur blanche, décorée de motifs criards, plutôt féminin.
- Tiens mon Ange tu devrais mettre cela après. Le soir.
- Cest quoi ?... Après quoi ?...
- Ouvre tu verras bien.
Jai ouvert la pochette scellée pour en sortir une petite serviette très fine en forme de huit allongé. Je savais vaguement ce que cétait pour en avoir vu dans la salle de bain. Mais je ne savais pas trop à quoi cela pouvait bien servir.
Devant mon regard interrogateur elle a précisé à voix basse.
- Cest une protection.
- Une protection ?...
- Oui.
Elle était embarrassée par ce quelle voulait dire.
- Pour ne pas que tu tâches tes slips ou tes pantalons. Crois-moi mon Chéri, cest mieux de la mettre après. Tu comprends.. ? Des fois ça peut couler après.
Oui javais compris. Tellement honte. Tellement humilié.
Je ne savais pas quoi lui répondre. Je me suis tourné dos à elle. Mais elle na pas lâché prise. Son visage cest blotti dans le creux de mon épaule. Elle a chuchoté au creux de mon oreille.
- Cest rien Chéri. Tu mets un protège slip après, surtout le soir pour dormir. Et tu fais un bon lavement le matin quand il est là. Cest rien Didou, et cest plus confortable pour toi. Moi aussi je le fais Didou. Et toi tu portes un plugg en plus Chéri. Je sais que tu salis tes slips et même tes joggings des fois. Cest normal. Je les vois dans le bac à linge. Même si tu les cache et que cest toi qui fais la lessive. Et elle ajoute.
- Mettre un protège slip cest rien. Toutes les femmes en mettent.
Elle se rend compte de ce quelle vient de dire et précise confuse :
- Je ne voulais pas dire ça Didou. Excuse-moi Chéri. Mais tu as compris. Tu veux que je te montre comment on le met ?... Cest pas fait pour les hommes mais cest pas grave..
Elle se décolle de moi, pour regagner sa place habituelle dans ce grand lit. Puis elle revient vers moi pour ajouter :
- Tu ferais mieux daller le mettre Didou vu comment Kemb ta pris tout à lheure. Sinon tu vas avoir des fuites Chéri et tu vas mal dormir.
Jétais sonné et cassé et jai obéis. Elle avait raison.
Le samedi suivant Kemb mapostrophe.
- Alors mec tas bien laver ton cul ? Un bon lavement jespère. La prochaine fois je vous amène le bon matériel. Cest pas bon de faire cela avec la douche. Hé ma Gazelle, jespère que ta encore des protèges slip parce que Mathieu est avec nous ce soir. Et ton cocu va déguster.
Margot ne répond rien, mais elle a pas lair content. Mathieu savait !
Après le diner, les trois ont rejoint la chambre à coucher me laissant mettre de lordre dans le salon. Bien sûr, jentendais un concert de bruits et gémissements divers qui traduisaient lintense activité sexuelle en cours.
Au milieu de la nuit Mathieu a rejoint mon lit.
- Putain, ta femme nous a bien vidé. Là je suis à sec mais tu perds rien pour attendre. Je suis pressé de te visiter le fion. Paraît que tu as un popotin accueillant et profond
Effectivement, il ma réveillé deux heures après en me doigtant avec du gel. Ses deux doigts sont entrés sans difficulté.
- Ben dis donc ! Mon pote ta bien préparé on dirait. Tas la corolle anale déjà bien souple. Tu sais que cest lui qui voulait ton cul. Et il avait prévenu ta femme. Ou plutôt il voulait quelle lui offre. Elle a résisté.
Il frottait sa grosse queue contre mes fesses puis dans ma raie.
- Ils ont même failli se séparer à cause de toi
Mais elle a cédé. Difficile de se passer de nos queues pour une femelle comme elle. Je me demande vraiment ce quelle te trouve.
Il a posé son gland contre mon anus
- Ta femme adore être prise en levrette. Je nai pas souvent droit à son cul, alors je vais moccuper du tient. Mets-toi en levrette. Allez à quatre pattes ma poule.
Encore ensommeillé et humilié par ce quil avait dit sur Margot, jai obéis. Il a rectifié ma position en mouvrant plus les jambes et en baissant ma tête jusquà ce quelle touche le lit. Jétais presque prosterné, cul relevé et reins cambrés.
- Ouais comme ça. Une vraie position de pute. Cest vrai que tas un beau cul. Presque un cul de femme. On va se régaler avec toi. On nest pas bi, mais avec toi cest un plaisir de te casser le cul devant elle.
Il a positionné son gland contre mon anus glissant, puis ma tenu par la taille.
- Serre les dents salope.
Sous la puissance et la dureté de lintromission, jai eu le souffle coupé avant de mécrouler. Jai crié de douleur.
- Empalé jusquaux couilles du premier coup mec !...
Javais les larmes aux yeux et il a commencé à me forer les entrailles. Vite, fort. Sa bitte investissait mon cul à toute vitesse sans repos. Il a collé sa bouche contre mon oreille.
- Kemb ma demandé de bien te défoncer le cul et la bouche et je ne vais pas me gêner. Faut que Margot comprenne ce que tu es en réalité. Tu vas vraiment avoir besoin de protège slip pour dormir.
Il a tenu parole. Il ma cassé le cul et la bouche. Margot et Kemb dormaient. Ma femme dans les bras de son amant. Et moi je servais de vides couilles à son copain.
oooOOOooo
De nouvelles règles de vie se sont établies pour moi. Bittes, plugg, lavements, protège-slip la nuit. Et le plugg de plus en plus souvent et longtemps. Au bout de deux mois Kemb a dit à ma femme que javais lanus aussi ouvert que sa chatte.
Elle a ri :
- Tu exagères Kemb.
Elle ma fait un gros bisou sur la joue. Moi je savais quil nexagérait pas. Mon anus mettait de plus en plus de temps à se refermer.
Le dernier dimanche de Novembre, ils sont les deux dans la chambre. Moi dans la mienne. Je devais aller me nettoyer après le passage de Mathieu dans mon cul. Et son départ pour sa garde de nuit.
Dans le couloir jentends Margot. La porte est fermée.
- Non Kemb ! Cest ça ou rien Kemb
Tu comprends
Ne moblige pas
Kemb est sorti furieux. Il était habillé. Les portes de la chambre puis de la maison ont claqué. Josais pas aller voir ma femme.
En retournant dans ma chambre, jai cru entendre des sanglots.
Longtemps après, elle est venue.
- Je peux dormir avec toi Didou
Elle sest couchée, collé contre moi.
- Quest qui se passe Margot ?...
- Rien Chéri
Rien
Serre-moi contre toi
Comme avant
- Il ne tas pas fait de mal
.
- Non Chéri bien sûr que non
.
Et elle ajoute dune voix bizarre
- Il y a que toi qui peut me faire du mal.
Elle met son doigt en travers de ma bouche.
- Chut maintenant et dodo.
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